Définition Dictionaire de la Mondialisation:
"Le fait de devenir mondial, de se répandre dans le monde entier."
(Mondial = "Relatif à la terre entière; qui intéresse toute la terre.")
D’étudier la question de la mondialisation sous toutes ses faces aura très difficile, parce qu’elle est très complexe. Avec les marchés plus ouverts la convergence et l’interdépendance entre les pays ont augmentés. Les innovations techniques comme la production en série l’informatique et l’internet ont eu une forte impression sur la mondialisation, comme on a déjà vue pendant les cours. Les entreprises ont devenues plus mondial à cause (en part) des économies d’échelle. Les entreprises trouvent les bénéfices de coûts s’ils diversifier, ou avoir des marchés plus grand. Ils pouvait même profiter d’un avantage comparatif s’ils avoir le commerce extérieur. C’est plutot les grandes entreprises qui ont les ressources pour s’installer dans les autre pays. Pourtant, même les petites entreprises doivent désormais penser leur stratégie en fonction de la concurrence sur le marché mondial.
Il faut qu’on considère aussi la mondialisation financière, qui se répercute sur le fonctionnement des économies nationales. Les taux de change sont une partie crucial des décisions financière sur le plan mondial. Ils peuvent déterminer la localisation des productions, et donc la création d’emplois sur le monde entier. Les distortions de taux de change sont un problème grave, parce qu’ils viennent fausser les conditions normales d’activité des entreprises. Aussi, la déréglementation des mouvements de capitaux et l’ouverture des pays autrefois fermés à l’économie de marché ont accéléré le phénomène de mondialisation et la diversification des formes d’internationalisation. Il y a trois formes d’internationalisation principaux. Ils sont, le commerce international, l’entreprise-réseau, et l’investissement direct à l’étranger.
Le commerce international
Il est la forme la plus ancienne des trois. Il s’agit d’un pays exportateur qui satisfait la demande d’un autre pays qui est importateur. Il est possible de voir deux types de commerce.
La première est celle de la spécialisation, tant que le commerce repose sur la complémentarité des économies nationales. L’efficacité de la spécialisation est montré par les chiffres des soldes extérieurs; s’ils sont exédentaires ils sont efficace, mais c’est la contraire s’ils sont déficitaires. Les différences relatives de productivité se montre l’avantage comparitif. (Comme chez Ricardo) Néanmoins s’il les technologies de chaque pays sont identiques, il peut résulter en des différences de dotations en facteurs macro-économiques de production. Dans les deux cas, les nations tirent parti de leurs différences et en retirent un gain réciproque.
La deuxième type de commerce est celle où le commerce repose sur la similitude d’économies nationales et leurs exportations et importations se croisent au niveau le plus fin de la nomenclature douanire. En une situation de croissement des flux comme ça, l’innovation qui engendre une différenciation des produits pouvait résulte. Une différenciation verticale est quand il y a des qualités différentes. Horizontale ça va dire des variétés différentes. Normallement on peut les voir dans les concurrences monopolistiques, où s’exercent les rendements croissants et où les firmes hétérogènes.
L’entreprise-réseau
Celui-là est la forme la plus récente d’internationalisation. Il devient de plus en plus profitable de tisser des relations contractuelles avec les partenaires qui émergent dans les pays d’implantation, notamment dans les pays en décollage industriel qui créent des filiales strictement contrôlées au sein d’entreprise. Quelques raisons pourquoi pour
ce-ci sont les réductions des apports de capitaux et le nombre des cadres expatriés, en ménagant les susceptibilités nationales et en mieux s’intégrant dans le contexte local - tous ces choses aident l’entreprise de devenir un succès plus vite. Cette maniere d’internationalisation avait commencé d’être remarqué dans les années quatre-vingt. (Notamment par Robert Reich) "La grande entreprise, conçue pour la production de masse, éclate pour laisser la place à un réseau étendu à l’échelle mondiale." C’était
l’ agent moteur du réseau qui l’a crée.
L’investissement direct à l’étranger.
(Je vais concentré sur celui - ci pour la plupart d’exposé. )
Définition générale:
"un investissement qui implique une relation à lnog terme, reflétant ainsi un intérêt durable d’une entité résidente d’un pays d’origine (L’investisseur direct) sur une entité résidente (l’entreprrise investie) d’un autre pays" selon le manuel de la balance des paiements du Fonds Monétaire International.
Définition de la Banque de France
"La détention à l’étranger d’une unité ayant une autonomie juridique ou d’une succursale; La détention d’une proportion significative du capital, donnant à l’investisseur résidant un droit de regard dans la gestion de l’entreprise étrangère investie (participation égale ou supérieure à 10%); Les prêts et avances à court terme consentis par l’investisseur à la société investie, dès lors qu’un lien de maison mère à filiale est établi entre eux."
Seulement les investissements français à l’étanger effectués par les sociétés résidentes en France, avec son siège situé en France métropolitaine compte. C’est sans aucun considération de nationalité des actionnaires ou associés qui la contrôlent. Si le poste d’immobilisations financières sur le bilan d’un entreprise résidentes est moins de 20 millions de francs, la Banque de France ne le compte pas comme un investissement directs à l’étranger.
Il y a aussi la question de flux et de stocks. Il y a trois éléments qui représentent ensemble les flux d’investissements directs. Ils sont * "apports nets en capital accordés par l’investisseur direct sous forme d’achat d’actions ou de parts, d’augmentation de capital ou de créations d’entreprises." * les prêts nets, (même des prêts à court terme et avances de la maison mère à sa filiale. * Les bénéfices non distribués (réinvestis) Les stocks d’investissement directs sont la valeur totale des capitaux étrangers dans un pays à un moment donné. (Mais c’est difficile d’être précis, donc normalement c’est une estimation)
Pouquoi investir à l’étranger?
Il y a plusieurs types de motivation qui provoquent l’investissement direct à l’étranger, plus que la simple création de filiales commerciales.
Les deux premiers types sont des résultes de l’impossiblité de certains flux de commerce international. Des flux induits d’exportation peut entraîner à sa suite. Ces deux types correspondent historiquement à l’investissement direct à l’étranger. On peut les citer en rélation des firmes multinationales américains, dont l’extension s’intégrait dans la stratégie géopolitique du gouvernement des États-Unis. Les pays en développement où elles s’étaient implantées au début ont étaient soupçonneux des États-Unis. Puis l’Europe étaient un environs de la cible pour les américains.
Une modification des flux de commerce international peut être remarquée dans les deux autres types de motivation. (Ça consiste d’un réduction des flux d’échange, et où, des nouvaux courants d’échange apparaissent - soit en sens contraire, soit sur d’autres destinations - soit sur d’autres produits.)
Les années soixante-dix ont vue la diversification de la multinationalisation des entreprises. Maintenant les entreprises se dissocie de plus en plus de son pays d’origine. Souvent, la localisation d’un entreprise dans un autre territoire est au détriment de son pays d’origine, pour la plupart a cause de la non-création des emplois.
Les difficultés d’une mesure satisfaisante
Il est difficile de mesure et donc de, comparer les investissements direct à l’étranger. Il n’y a pas de norme unique qui défine quelles chiffres sont lesquelles qui montre soit un investissement direct, soit un investissemnt de portefeuille pour les distigué. (Un investissement de portfeuille est "les prises de participation, sous formes d’achat d’actions ou autres modes, ne sont perçues que comme un placement financier; une simple stratégie de diversification des risques dans les placements nationaux" par rapport d’avoir le pouvoir d’influence dans l’entreprise investie.
Le capital minimum à détenir dans une entreprise étranger pour être consideré comme un investissement direct fluctue entre 10% et 25% selon les pays. Avec un telle grande marge, on trouve des incombatibilités entre les statistiques internationaux. Même les statistiques françaises était alignées sur le seuil de 20% jusqu’au 1993, et maintenant reste à 10%. Mais si on utilise un taux minimum de participation de 10%, il y a la risque de gonfler des flux de capitaux qui sont considérés comme investissements directs, sans respecter les critères de "pouvoir de décision" et de "transfert technologique". La plupart des vrai investissement directs étrangers concernent des prise de participation largement supérieure à 10%.
Aussi, la conversion entre les monnaies nationaux peuvent créer des complications. Par exemple la conversion en francs est réalisée sur la base des cours du change prévalant lors de la date d’arrêté du stock. Il y a donc des appréciations assez différentes, liées uniquement aux fluctuations du change. Avec la monnaie unique, ce problème pourrait disparaître, ou au moins, il sera réduit. L’Angleterre a déjà eu des problèmes d’un perte d’investissement parce qu’elle n’a pas fait partie de la nouvelle monnaie unique.
Selon la Banque de France, "La correspondance entre les flux de balance des paiements et la variation des stocks est parfois difficile à établir pour les raisons suivantes": 1) Les stocks sont calculés sur la base de la valeur comptable de
certains éléments du passi de la société investie (capital, réserves); Les flux le sont sur la base de la valeur vénale.
La Banque de France a, depuis 1996, récommence de compter les prêts à court terme aux filiales et les profits réinvestis dans leurs statistiques de l’investissement direct, parce qu’ils n’était pas recensés en avant.
Le ministère de l’Économie (DREE) fait un étude, ou, recensement tous les années depuis 1991, au sujet des investissements à l’étranger aussi. Il utlise un mode de calcul diffère de la Banque de France utilise. Ils étude les entreprise étranger que les françaises contrôle plus de 10%. Il s’interesse "au bénéficiaire ultime de l’investissement à l’étranger et non au bénéficiaire direct, comme c’est le cas dans la balance de paiements". Avec cette méthode, la DREE décompte 5307 filiales françaises à l’étranger plus que la Banque de France en 1992. (13970 contre 8663)
Les fusions-acquisitions sont importante aussi, mais les statistiques sont moins précises que celles des flux d’investissements. Elles s’interesse presque seulement aux opérations où une firme acquérir une entreprise étrangère à plus de 50%. Les statistiques offrent l’avantage de mentionner un montant global des transactions qui n’est pas exclusivement le total flux de capital du pays d’origine vers l’étranger, donc les comparaisons internationales sont plus facile.
D’après l’ONU , les flux d’investissement direct internationaux (ou étrangers sortants passés de 55 milliards de dollars dans le monde en 1980 à 240 milliards en 1990, puis à 347 milliards en 1996. En dollars constants, la croissance sur la période 1985 - 1995 a été d’environ 200%. Ça nous montrons peut-être que la mondialisation est forte. Pourtant la convergence pourrait améne des problèmes aussi, comme avec la crise asiatique recemment.
Table 1 - Croissance comparée du PNB, de la FBCF mondiale, du commerce international et des investissements directs à l’étranger 1981 - 1996.
Au début des années quatre-vingt, il y avait une légère diminuation. Entre 1986 et 1989 les investissements directs à l’étranger ont connu une croissance très forte, et il avait augmenté par quatre en le même nombre d’années. Après ça, la croissance a ralenti, diminué même, et a expériencer une période de stagnation. Mais les flux d’investissement sortants sont repartis à la hausse en 1995 et 1996
Figure 1 - L’évolution des flux d’investissement internationaux sortants dans les années quatre-vingt et quatre-vingt-dix
Le monde et les pays développés as le même cycle. Ils augmente au fin des années quatre-vingt, puis la croissance as ralentis, mais sont encore assez forte en comparaison d’avant. Au fin des années quatre-vingt-dix il a récommencer de croître.
Table 2 - Stock des investissements directs à l’étranger par pays ou zone d’origine 1960 - 1996.
L’expansion des investissement directs étrangers entre 1985 et 1990 a concerné principalement les pays développés entre eux. L’expansion d’après 1995 a profité en partie aux pays en développement, et tout particulièrement à la Chine.
Figure 2.6 - Stock des investissements directs eurpéens à l’étranger par principaux pays d’origine (en pourcentages)
La Grande-Bretagne était la plus grand, mais était en déclin. Les Pays-Bas était en déclin aussi, penadnt l’Allemagne et l’Italie augmente. La France fluctué un peu, mais resté presque constante.
Table 3 - Ratio des stocks d’investissements sortants et entrants pour les principaux pays européens : IDEs/IDEe (1967 - 1995)
Certains semble d’être toujours un pays d’accueil, comme l’Espagne et Portugal. Il y a des autres pourtant, qui connaissent des flux croisés importants, comme la France et la Grande-Bretagne, mais ça n’est pas a dire qu’ils sont tout les mêmes. La Grande-Bretagne as une situation d’investisseur net important, mais c’est l’inverse pour l’Allemagne.
Conclusion
Le monde change tous le temps. L’investissement direct à l’étranger joue une rôle très importante dans la mondialisation, et l’introduction de l’euro et la monnaie unique va, je crois, amélioré la situation mondiale et le commerce international pour ceux qui l’utilise. La croissance a une cycle de fortes et faibles, qui peuvent aide la mondialisation, mais pendant un période bas, peuvent la nuire aussi.